Nouvelle convention collective à la Société québécoise des infrastructures

À l’avant: Louise Fiset, conseillère syndicale au SCFP et porte-parole du SCFP 2929-SESQI; Michèle Vézina, présidente du SESQI; Yves Ouellet, président-directeur général de la SQI; Marcel Lapointe, porte-parole patronal. À l’arrière: Guy Godin, membre du comité de négociation du SESQI; Frédérick Sylvestre, vice-président Québec du SESQI; Sylvain Beaulieu, vice-président Québec du SESQI; Réal St-Pierre, membre du comité de négociation patronal; Yola Dubé, directrice des ressources humaines; Jean-François Bouchard, membre du comité de négociation patronal. Photo Louise Leblanc
À l’avant: Louise Fiset, conseillère syndicale au SCFP et porte-parole du SCFP 2929-SESQI; Michèle Vézina, présidente du SESQI; Yves Ouellet, président-directeur général de la SQI; Marcel Lapointe, porte-parole patronal. À l’arrière: Guy Godin, membre du comité de négociation du SESQI; Frédérick Sylvestre, vice-président Québec du SESQI; Sylvain Beaulieu, vice-président Québec du SESQI; Réal St-Pierre, membre du comité de négociation patronal; Yola Dubé, directrice des ressources humaines; Jean-François Bouchard, membre du comité de négociation patronal. Photo Louise Leblanc

Le 26 mars dernier, le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) a signé une nouvelle convention collective avec la Société québécoise des infrastructures au nom de quelque 475 membres. L’entente est d’une durée de cinq ans et couvre la période du 1er avril 2015 au 31 mars 2020.

L’entente de principe entre les équipes de négociation était intervenue le 29 novembre dernier au bout de 26 séances de négociation et 9 séances de médiation. Les membres l’ont ensuite entérinée par un vote de 72% lors de la tournée des assemblées générales, tenues entre le 8 janvier et le 24 janvier 2018.

Parmi les clauses négociées, notons l’amélioration des congés pour obligations familiales et l’augmentation de la part de l’employeur pour les assurances collectives. La couverture passe d’un mois à trois mois à 80% lors d’un arrêt de travail pour maladie.

L’entente prévoir aussi l’amélioration de la politique de l’employeur concernant les montants octroyés pour l’achat de souliers et de bottes de sécurité. Aussi, elle intègre certaines lettres d’entente à la convention collective.

«Nous sommes contents de l’entente, car nous considérons que nous n’avons pas « sabré » dans nos conditions, contrairement au désir de l’employeur au début de la négociation», a expliqué Michèle Vézina, présidente de la section locale 2929 du SCFP.