Pourquoi parler de violence conjugale dans un contexte de pandémie ?
La maison de sondages Angus Reid confirme dans un sondage pancanadien que les femmes se sentent plus anxieuses ou inquiètes que les hommes : 48 % contre 36 %.
Le Centre d’expertise en gestion de la santé et de la sécurité du travail a sondé 1 259 Québécois du 30 avril au 7 mai. Selon l’enquête, 56 % des femmes et 41 % des hommes ont dit vivre un niveau élevé de détresse psychologique.
Si vous avez besoin d’aide, n’hésitez pas à contacter les ressources disponibles (syndicat, PAE, médecin, psychologue, organisme, etc.).
Au Québec, la ligne SOS violence conjugale a révélé une hausse de 15 % des appels depuis le début des mesures de confinement.
Voici quelques ressources qui sauront vous diriger vers le bon organisme.
SOS Violence conjugale : 1 800 363-9010
Prévention du suicide : 1 866 277-3553
Tel-Jeune : 1 800 263-2266
Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale
http://maisons-femmes.qc.ca
L’Alliance des maisons d’hébergement de 2e étape pour femmes et enfants victimes de violence conjugale
www.alliance2e.org
Fédération des maisons d’hébergement pour femmes (FMHF)
http://fede.qc.ca
211 Capitale-Nationale et Chaudière-Appalaches et MRC de la Haute-Yamaska
http://www.211quebecregions.ca
211 Grand Montréal
https://www.211qc.ca